Secourir ton prochain !

          La scène se déroule à la fin des années 1970

          Par une soirée pluvieuse, un peu tard, vers 23h30, sur une autoroute carrément déserte, pas âmes qui vivent à des kilomètres. Dans la noirceur de la nuit,  une femme âgée accompagnée de son marie beaucoup plus âgé qu’elle, ils se tiennent le long d'une autoroute  tentant de se protéger de la pluie battante. Leur automobile est tombée en panne et ils ont désespérément besoin d'un transport. Détrempée, elle décide de demander l'aide de la prochaine voiture qui passe. Un jeune homme s'arrête pour leur porter secours, situation très peu courante de nos jours, troublée de conflits et de risques. Le jeune homme un étudiant immigré au volant de sa petite voiture, qui rentre tard d’un travaille d’appoint (occasionnel) parce que le jour il doit étudier et chercher du travail pour vivre dans la dignité. Ils les amènent tous les deux  en toute sécurité, les aide à trouver du secours et leur procurer un taxi.

          La Dame a l'air très gentille, le Monsieur se contenter de sourire il n’est pas bavard.  La Dame  a proposé de l’argent au jeune bienfaiteur, ce qu’il a refusé catégoriquement. Ça peut arriver à tout le monde d’aider son prochain dit-il.  Il les saluait en disant que demain il a un rendez-vous très important avec le directeur d’une société   d’assurance très renommait, pour participer a un test de recrutement pour un emploi qui va concrétiser tous ses rêves.  Le vieux lui a demandé s’il a une carte de visite et le jeune homme lui remet un petit bout de billet où il a mentionné ses coordonnées.

          Sept jours plus tard, on vient sonner à la porte du jeune homme. A sa grande surprise, c’est le couple de l’autoroute qu’il a dépanné, il les invite à entrer. Ils sont venus lui annoncés qu’il a été  élu au teste qu’il a passé la semaine dernière.  Et ils  lui ont remit une lettre pour rejoindre la société d’assurance le plus vite possible. "Merci beaucoup de nous avoir porté secours sur l'autoroute l'autre jour. La pluie avait transpercé non seulement mes vêtements mais aussi mon esprit à dit la bonne Dame. Puis vous êtes arrivé. Grâce à vous, j'ai pu me rendre chez mon fils qui est le propriétaire de la société d’assurance dans tu va travailler prochainement. Dieu vous bénisse jeune homme pour nous avoir aidé et pour votre dévouement pour les autres.

          Le jeune homme avait les yeux remplis de larmes. Comment puis-je vous remercie ? demanda t-il. « C’est déjà fait, dit la Dame. La gloire va à Dieu. Il t’a conduit à nous sauver du pire.

          Rappelez-vous que lorsque vous tendez la main pour sauver quelqu’un on ne sait jamais de quelle façon cela reviendra. Dieu est si grand et que sa miséricorde peut recouvrir tout le monde et il est partout même quand tu es tout seul.  Sois toujours heureux et fais confiance à Dieu, Il fait infiniment plus que ce que nous croyons.

                                Hamdibey