• Tu me chatouilles

    Tu me chatouilles

     

    Tu me chatouilles

         C'est un petit lapin de laboratoire qui parvient un jour à s'évader. Il arrive rapidement à une petite clairière non loin des bâtiments où il était séquestré, et il ne tarde pas à rencontrer des congénères sauvages. La conversation s'engage entre les lapins :
    - Hé, salut les gars, je suis un lapin du labo d'à côté. Je viens de m'évader. Et vous, vous êtes des lapins de garenne ?
    - Ouais. Allez, viens avec nous, on va te montrer ce que c'est que la vie au grand air !
    - Il faut tout m'apprendre parce que je ne sais rien, hein...
    - Tiens, par exemple ici, tu as un beau champ de blé encore vert, goûte-moi ça.
    - Hummm c'est super bon. C'est meilleur que ces granulés qu'on bouffait au labo. Qu'est-ce qu'on peut manger d'autre ?
    - Eh bien là-bas, il y a un champ de carottes. Viens, on va creuser un peu et crois-moi, tu vas te régaler.
    - Hummm, j'avais jamais mangé de carottes. Comme c'est bon. Qu'y a- t-il d'autre d'aussi bon ?
    - Si tu viens par ici, tu pourras goûter à de la laitue. Ca non plus tu ne vas pas le regretter.
    Et voilà nos lapins partis se goinfrer de laitue après avoir fait une orgie de blé et de carottes.
    Puis un des lapins sauvages dit :
    - Je parie que tu ne t'es jamais fait une lapine ?
    - Non c'est vrai
    - Alors viens...
    Et les voilà partis se faire une partouze dans un des terriers baisodromes du coin. Après quelques heures de fornications, le lapin blanc est considéré comme un ami par ses congénères de garenne. Ils lui demandent :
    - Alors ça te plaît hein ? Tu restes avec nous ?

    - Non les gars, je suis vraiment désolé. C'est vrai que c'est super, la bouffe, les nanas et tout ça, mais il faut que je vous le dise, je vais retourner au labo... J'ai trop envie de fumer une clope ! Vous en avez ?  Nonn… !  Alors là je suis vraiment désolé,  je suis en état de manque…

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          Un type entre dans un magasin d'animaux, fait un tour et passe devant un perroquet sans pattes.
    Il dit tout haut "eh ben, qu'est-il arrivé à ce perroquet ?".
    "Je suis né comme ça", dit le perroquet.
    "Eh, on dirait qu'il a compris ce que je disais et qu'il a répondu"
    "Je comprends chaque mot. Je suis terriblement intelligent et très cultivé."
    "Ah ouais ? Et bien explique moi comment tu tiens sur ta perche"
    "C'est à dire ... c'est un peu embarassant ... comme je n'ai pas de pattes, je me sers de mon petit zizi de perroquet comme d'une sorte de crochet. Tu ne peux pas le voir à cause de mes plumes."
    "Wow, dit le gars, alors comme ça, tu peux vraiment comprendre et répondre à ce qu'on te dit?"
    "Bien sûr. Je parle couramment français et anglais et peux tenir une conversation sur des sujets divers : politique, religion, économie, physique, philosophie ... Bien sûr, je suis assez calé en ornithologie. Tu devrais m'acheter, je serais un compagnon très agréable."
    Le gars regarde le prix
    "14.000 balles, c'est cher mais effectivement, tu vaux ton prix"
    Il rentre chez lui. Les semaines passent et le petit perroquet est fantastique. Il est amusant, intéressant, un bon copain, il comprend tout, sympathise avec les problèmes de son maître et est de bon conseil. Un jour, le type revient du boulot. Le perroquet, en dessous du fauteuil, l'appelle
    "Psst". Il approche et le perroquet dit à voix basse "Je ne sais pas si je devrais te dire ça mais ta femme et le facteur ..."
    "Quoi, ma femme et le facteur ?"
    "Chuuut. Eh bien, quand il est passé ce matin, ta femme lui a ouvert, vêtue seulement d'une chemise de nuit quasi transparente, l'a fait entrer et elle l'a embrassé sur la bouche."
    "Quoi ? Et puis, qu'ont ils fait ?"
    "Il a soulevé sa chemise de nuit et l'a caressée sur tout le corps..."
    "Hein ? Et puis, qu'a-t-il fait ?"
    "Il a commencé à lui lécher les seins, puis le ventre, puis s'est mis à genoux et lui a embrassé le bas-ventre ..."
    "Quoi ? Et puis ? Qu'a-t-il fait ? Réponds !"

    "... Je ne sais pas, j'ai commencé à bander et je suis tombé

     

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